'étais enfin inscrit à l'université et je pouvais enfin quitté l'espèce de cocon familiale que je détesté tant. Je m'y étais pris asse tardivement car je ne savais pas vraiment si je pourrais m'adapté à côtoyer un grand nombre de personne tout les jours et ça pendant au moins trois ou quatre ans. Mais, les choses avait changé en un mois et c'est fin novembre que je fus accepté en première année de fac. Mes résultats scolaire avait s'en doute aidé le directeur a faire une exeption et a m'accepter dans son établissement étant donner que je n'étais pas vraiment un étudiant très, comment dire, très calme. J'aimais énormément étudier et m'instruire mais par moment j'avais besoin de faire le con et d'emmerder le petit monde qui m'entourait. Bien entendu le principal m'avait explicitement fait comprendre que si je venais a dépasser les limites qu'il m'avait fixé je serais immédiatement exclut.

C'est donc en élève studieux que j'avais voulu me rendre à la bibliothèque de l'université pour pouvoir réviser les premiers contrôle qui avait été annoncer tout au long de la journée et n'ayant pas de traitement de faveur en ce qui concerner le fait que j'avais manqué trois mois de cours je devais m'activer pour montrer aux professeurs de quoi je pouvais être capable. C'est donc un café à la main que je me rendis à la bibliothèque. Mes bouquins était soigneusement rangé dans mon sac pour éviter un quelconque accident. Malheureusement le drame arriva après un connard me pousse. Je fis alors tombé mon café latte sur le dos d'une jeune rouquine qui ne manqua pas de m'énerver à sa seule phrase.

- Pardon ? Troisième degré ? Je pense que tu exagère légèrement. Mon café commencé déjà a tiédir. Si t'as un problème tu n'as qu'à t'en prendre au bouffon qui m'a poussé.

Dis-je alors que je reprenais mon chemin. Pour qui elle se prenait ? J'avais eu sans doute le malheur de lui gâché un de ces nombreux chemisier coûtant une fortune. Fin de journée de merde en perpective. Avec de la chance mon futur colocataire sera beaucoup plus d'humeur à rendre ma fin de journée aussi agréable que possible. [AUCUNE CONNOTATION SEXUELLE BIEN SUR !]  

l prit donc les mouchoirs en papier que tu lui avait gentiment proposer et essuya le peu de café qu'il avait sur lui. Heureusement que sa journée de cours était terminer, il n'aurait pas le besoin de courir jusqu'à l'appartement qu'il ne connaissait pas encore et où ces affaire n'arrivait qu'en fin d'après midi, soit dans trois heures. C'est qu'il était chanceux aujourd'hui.

Il soupira à tes paroles et prit ne grand inspiration pour pouvoir te répondre le plus calmement possible. Après tout, sa boisson avait atterrit sur toi, dommage pour les autre qu'il ne soit pas tomber au niveau de ta poitrine, ils auraient pus enfin voir une poitrine.

- Ca va, c'est rien. On s'énerve facilement dans ce genre de situation.

Dit-il calmement et le plus doucement possible. Beh oui, il ne fallait pas oublié qu'ils était dans un lieu où le silence était exigé. Le brun te regarda et te rendit les mouchoirs qui ne lui avait pas servit.

-Mhn, tu m'offre un café pour te faire pardonner ? Je t'offrirais un nouveau chemisier.

Il espéré juste à cet instant que tu réponde simplement oui, histoire d'avoir ENFIN un café qui le maintiendrait éveillé encore jusqu'à ce qu'il rencontre son nouveau colocataire.   

ich' souriait faiblement en regardant le gobelet de café que tu venais de lui apporter. Le bun ne pouvait s'empêcher de respirer l'odeur de sa boisson avant d'en boire une gorgée ou deux pour finalement le poser avec douceur sur la table en face de lui.

-Il est hors de question que je te laisse me payer un si merveilleux café sans que je puisse t'offrir autre chose. Je tiens vraiment à te payer un nouveau chemisier, qu'importe son prix. Du moins, moins de mille dollars ~

Le jeune étudiant souriait un peu plus, se levant tout en reprenant son café en main et portant son sac à dos sur une de ces épaules. Il regarda tes affaires puis ton chemisier. Finalement il te tendit sa veste, histoire que tu ne reste pas "nue" une seconde de plus.

-Tu finiras plus tard. Je pense que le plus important là, c'est t'habiller plus, convenablement.

Dit-il en souriant alors qu'il partait déjà vers la sortie, t'attendant d'ailleurs à celle-ci avec un regard tellement intense qu'il en était presque déstabilisant.